Pourquoi des applications de rencontres comme Tinder, Bumble et Hinge sont nulles, d’apres Nancy Jo Sales
En 2015, la journaliste Nancy Jo Sales – elle d’la bague Bling et de nombreux profils de celebrites tres animes au sein des annees 90 et au moins – ont publie un article concernant Tinder. Mais il ne s’agissait moyennement de Tinder en soi; il s’agissait en facon dont Tinder et des applications de rencontres comme celle-ci inauguraient votre nouveau paysage romantique dystopique au sein d’ lequel le sexe est le rendu d’un algorithme et les relations ne se formaient limite pas. Au lieu d’offrir une connexion reelle et humaine en un seul coup, Sales a fait valoir que les applications de rencontres ne faisaient que tourner le cadran concernant la culture du branchement, ainsi, que ces dames hetero devaient une fois De surcroi®t bosser sur la gymnastique mentale Afin de se convaincre que, en fait, c’etait bien. .
Pourtant, durant ses annees a raconter l’histoire, et apri?s son livre American Girls: nos reseaux sociaux et la vie secrete des adolescentes et son documentaire Swiped: Se connecter a l’ere numerique, Sales reste devenu l’un des utilisateurs experimentes les plus enthousiastes de Tinder. Maman celibataire dans la cinquantaine, elle a declare avoir eu votre succes particulier i propos des applications avec de jeunes hommes dans la vingtaine, dont plusieurs se paraissent transformes en rendez-vous passionnants, d’autres partenaires sexuels maladroits, ainsi, un a change l’existence.
Tels seront les sujets du dernier livre de Sales, 1 memoire intitule Rien de personnel: ma vie secrete dans l’application de rencontres Inferno, dans laquelle elle raconte egalement le enfance et les nombreux cas d’agression sexuelle qu’elle a subis dans sa jeunesse, combinee a une etude de l’etat deprimant de violence sexuelle et d’oppression que les medias sociaux, soutient-elle, exacerbe.
Ventes Nancy Jo Gracieusete de Hachette Books
Notre service est un recit intensement personnel (et incroyablement juteux) en vie de Sales en tant qu’ecrivain de renom au magazine New York et a Vanity Fair, rempli de ragots mediatiques ainsi que scenes de sexe detaillees qui le rendent impossible a reprimer. Dans mon entretien avec Sales, nous parlons une maniere dont les applications de rencontres nous font nous sentir mal, ainsi, discutons de quelques idees sur la facon de faire d’Internet un endroit plus tolerable concernant ces dames.
Votre histoire Vanity Fair 2015 « Tinder et l’aube de l’apocalypse de rencontres » etait l’un des premiers articles viraux a repousser l’idee que les applications de rencontres etaient un bien net Afin de la agence. Vous sentez-vous justifie trop que, depuis six ans, les individus ont ete beaucoup moins sympathiques a la Big Tech?
Nous sommes dans un techlash, qui, j’imagine, a commence vers 2016 ou 2017 avec Cambridge Analytica et les audiences du Congres. Mes medias, enfin, critiquent nos mouvements de Big Tech, et nous en sommes venus a realiser que c’est votre fort gros probleme dans toutes des vies, et nous devons l’ensemble de aller legerement Upton Sinclair a votre theme.
Je l’appelle Big Dating parce que c’est comme Big Pharma dans le sens ou ils paraissent plus interesses a vous commercialiser des pilules qu’a guerir et cela ne va vraiment jamais i votre logis. Les rencontres ont lieu 24 heures sur 24, 7 semaines via 7, aussi qu’il y avait des moments ou nous sortions. Dans la
L’un des points sur lesquels vous vous tournez beaucoup reste que les applications de rencontres font que les gens se sentent jetables et qu’elles ludifient les rencontres.
Quel impact i§a a-t-il concernant la maniere dont nous datons?
N’importe qui reste dans ces sites maintenant, ainsi, je pense que differentes generations utilisent des applications de rencontres de maniere legerement differente – nos personnes agees conservent des fois nos normes de rencontres de leurs generations. Mais je pense aussi que l’application controle une comportement et nous fait traiter n’importe qui tel jetable. Mon amie que l’on appelle Constance au livre, qui a 60 ans, a l’impression de s’habituer tout le monde ces mec de son age. Elle verifiera leurs telephones et decouvrira [these older men] essaient de frapper des jeunes de 20 ans Afin de etre leur papa de sucre.
Les mecs qui n’auraient normalement gui?re eu ces pensees en tronche le font a cause des applications de rencontres. Cela vous est impose avec des plates-formes et des algorithmes qui ne vous permettent pas vraiment de denicher l’amour, ils veulent juste que vous vous engagiez. Plus vous voyez des femmes de 18 annees ou autre – et [the apps] vous avez aussi de faux robots – i§a augmente ce dopamine. Alors vous pensez, « peut-etre que si je continue de glisser ainsi que continuer a glisser, j’en aurai 1 autre. » C’est tel le jeu.
Au moment de l’histoire de Tinder, les mecs vous accusaient de creer une panique morale et d’etre un embrayage de perles. Quelle est ce reponse a i§a?
Je ne dis gui?re que nous avons besoin d’amour courtois. J’ai fait toute ma these concernant l’amour courtois et le feminisme. Je connais les pieges et les problemes, et je ne dis pas que nous devrions revenir a l’idee de Sir Lancelot en fonction de laquelle quelqu’un est sous ce emprise. Mais c’est vraiment rejouissant d’avoir quelqu’un dans votre servitude, essayant de vous faire sentir special. Ca doit etre un objectif des deux cotes, faire en sorte que quelqu’un se sente special. N’avons aucun concours Afin de voir qui s’en soucie moins et qui renverra un texto apres que environ moment se soit ecoule. Toute une telle couverture que les gens font i propos des applications de rencontres est si ennuyeuse i mon sens. Ils se penchent en quatre Afin de dire: « Je ne voulais pas dire que je tenais a toi! » Qu’y a-t-il de mal a prendre lait de quelqu’un? Vous n’etes nullement oblige de les epouser. Mais juste tel, pouvez-vous vous en soucier quelque peu?